"Best of Progressive Rock" |
date |
Titre - Auteur / Artiste - CD initial |
durée |
commentaire |
1991 |
Saucers (Ed Wynne) Ozric Tentacles : Strangeitude |
07:31 |
Le grand retour du Space Rock. Rythme envoûtant, arabesques extrême-orientales, synthés organiques et un appétit pour une sorte de Fusion Jazz-Rock cosmique où les Guitares acoustique et électrique se partagent mélodies et solos. Quelque part dans un Triangle des Bermudes entre Gong première période, Steve Hillage et Tangerine Dream, plus un zeste de Hawkwind pour les lignes de basses hypnotiques. |
1992 |
Learning To Live (Dream Theater/Kevin Moore) Dream Theater : Images And Words |
11:30 |
Extrait du premier grand disque ayant jeté les bases du Prog-Métal, ce titre Mélodique et sans exacerbation intempestive est une totale réussite. La combinaison entre claviers et guitare est au top et l'interlude latin avec guitare acoustique magique. Quant aux tourneries instrumentales rutilantes qui étendent et ponctuent cette pièce fabuleuse, elles comptent encore aujourd'hui parmi le meilleur de ce que le groupe a enregistré. |
1994 |
The Light: The Dream/One Man/Garden People/Looking Straight Into The Light (Neal Morse/Alan Morse) Spock's Beard : The Light |
15:33 |
Avec les Flower Kings, voici l'autre grand groupe à la base de la renaissance du Prog dans les année 90 pour une suite à tiroirs devenue légendaire. On y trouve à peu près tout et n'importe quoi (même du flamenco) mais joué, combiné et arrangé avec une maestria époustouflante. The Light est instantanément devenu un des grands classiques du Prog moderne. Ecoutez-le et vous comprendrez vite pourquoi. |
1995 |
Atomic Prince/Kaleidoscope (Royne Stolt) The Flower Kings : Back In The World Of Adventures |
07:49 |
Rien à jeter dans ce disque qui contribua beaucoup à la renaissance du Progressif dans les 90's. Alors pourquoi pas cet instrumental coloré comme une joute médiévale. Royne Stolt y est impérial à la guitare, la mélodie est primesautière et la fin pastorale avec bruitages et guitare acoustique vous laissera suspendu entre rêve et réalité. Bienvenue à nouveau dans le monde de l'aventure ! |
1996 |
Z.I.T.O. (Rafael Bittencourt/Kiko Loureiro/Mariutti, Rafael/Andre Matos) Angra : Holy Land |
06:04 |
Holy Land est un disque très varié mais Z.I.T.O. est du pur Power Metal avec une petite touche progressive. Evidemment on y trouve des solos hyper-speedés de guitare et la voix d'André Matos explose dans les étoiles mais l'orchestration est tellement riche et l'interlude central avec ses claviers cristallins si inattendu qu'on en sort complètement accroc. |
1998 |
A Crack In The Ice (John Jowitt/John Mitchell/Clive Nolan/Mick Pointer) Arena : The Visitor |
07:25 |
Le premier titre du plus grand album d'Arena est aussi une composition spectaculaire : mélodie grandiose, texte surréaliste, claviers symphoniques, solos de guitare aériens sans oublier le finale avec ses chœurs d'outre-tombe. La prise de son fantastique rend justice à cette musique sombre et dramatique en révélant la plus infime de ses nuances. |
1999 |
Pure Narcotic (Steven Wilson) Porcupine Tree : Stupid Dream |
05:02 |
L'art de Steven Wilson : une mélodie mélancolique noyée dans une ambiance trouble, un accompagnement de guitare acoustique, quelques notes tristes de piano, un nappage électronique discret et la voix si traînante du leader. Simple et plus proche du Pop psychédélique des sixties que progressif... Encore que le spleen désabusé d'un Radiohead traîne aussi dans le coin ! |
1999 |
Sahara (Andy Latimer) Camel : Rajaz |
06:44 |
Quoi de plus inspirant que le Sahara pour un groupe dénommé Camel ? Tout sur ce disque évoque les immenses plaines de sable jaune et les vaisseaux organiques qui les traversent. En plus, ce titre enfonce encore le clou par d'inévitables effluves orientales. Mais la guitare fluide d'Andy Latimer est tellement présente qu'elle emplit à elle toute seule ces paysages vides et surchauffés. |
2000 |
Mystery Train (Neal Morse/Mike Portnoy/Roine Stolt/Pete Trewavas) Transatlantic : SMPTe |
06:51 |
La pièce de résistance de l'album est incontestablement All The Above mais elle dure 31 minutes. Ce titre beaucoup plus court n'en est pas moins un excellent Rock up tempo. La mélodie est un peu bizarre et l'accompagnement parfois dissonant mais ça fonctionne! Et la combinaison basse/drums en interlude est un moment funky jouissif qui se résume joliment en une approche symphonique plus classique. Pas mal quand on sait que tout ça a été enregistré rapidement par des musiciens pressés communiquant via le Net ! |
Durée Totale |
74:02 |